"1944. C'est la fin de la guerre. Erich Schwabe, soldat allemand, saute sur une mine. Quand on le relève, il n'a plus de visage. Seuls ses yeux restent vivants.
Partant de cet atroce accident, Heinz G. Konsalik raconte la vie des blessés de la face dans le. château Bernegg transformé en hôpital. Deux docteurs, le professeur Rush et le chirurgien Lisa Mainetti, reconstruisent millimètre par millimètre de nouveaux traits. 132 blessés, plutôt monstres qu'hommes, vivent en communauté dans cette maison sans miroir aux fenêtres opaques.
Malgré des soins attentifs et dévoués, ces hommes savent que personne, ni mères, ni sueurs, ni épouses ne les reconnaîtront. Et ils vivent d'espoir pourtant... d'un espoir poignant et tragique. Les Américains arrivent. lis prennent possession de l'hôpital et sont obligés de considérer ces grands blessés comme des prisonniers. Mais le major Braddock autorise cependant la venue d'Ursula Schwabe auprès de son mari. Et c'est la rencontre de deux êtres que la guerre a séparés, blessés, arrachés à leur vie heureuse..."

La maison des visages perdus, de Heinz Günter Konsalik, est très beau. Comme je venais de terminer Le Réseau Corneille de Ken Follett, j'avais encore envie de lire un livre en lien avec la Seconde Guerre Mondiale et c'est comme ça que je suis tombée sur ce livre. C'est assez difficile de s'imaginer les "gueules cassées" de la guerre malgré les descriptions assez longues et complètes! Le courage de ces docteurs et infirmiers est impressionnant. J'ai beaucoup aimé ce livre, vraiment! Il se lit assez rapidement sans qu'on s'ennuie. Et finalement on assiste aux retrouvailles de Schabe et de sa femme Ursula. Mais qu'à la fin vu qu'en fait il y a une suite qui s'intitule "Le retour tragique" mais je ne l'ai pas encore celui-là!

A partir de: 12-13 ans

Genre/ Thème: Réel/ guerre, médecine

Note: TTB

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